Graviton échographie

Frédéric du Châtelet nous propose un ressenti au confluent des arts et de la science, une révélation : notre univers va enfanter ! Au sein de notre propre big-bang, entre le champ des forces gravitationnelle et leur interaction hermaphrodite ; une sexualité féconde est en marche. Un nouveau « big-bang » va naître des entrailles de notre propre espace-temps.

Les scientifiques fondent l’espoir d’une synthèse, entre la relativité générale d’Albert Einstein et les recherches sur le graviton en mécanique quantique, qui permettrait d’écrire l’équation fondamentale de l’univers ; de l’infiniment grand à l’infiniment petit. Des particules élémentaires toujours hypothétiques, jamais observées, sont au centre de cette recherche : les gravitons. Ce sont les messagers de la gravité, de portée infinie… Ils voyagent en nombre illimité, leurs masses sont nulles mais toutes positives. Une équation qui s’inscrit au cœur de la contradiction… Car, comment expliquer que dans le cadre de la relativité générale (non quantique) d’Albert Einstein l’interaction gravitationnelle disparaît dans la courbure de l’espace-temps. Les masses ne s’attirent plus … Elles suivent les géodésiques d’un espace-temps tissé par le contenu « énergie-impulsion » de l’univers lui-même.

Frédéric du Châtelet apporte sa réponse et nous révèle les premières échographies de l’enfant à naître.

Des échographies réalisées à l’échelle dix puissance moins trente-cinq…

GRAVITON ECHOGRAPHIE – Acrylique sur toile 150 x 150

GRAVITON ECHOGRAPHIE – Acrylique sur toile 100 x 100

GRAVITON ECHOGRAPHIE – Acrylique sur toile 100 x 100